Injections et médecine esthétique

    D’une façon progressive, les signes de vieillesse commencent à s’installer chronologiquement du haut vers le bas du visage. Pour une jeune femme qui découvre ses premières rides, elle cherche à traquer rapidement le relâchement.

    En réalité, la vieillisse dépend de certains facteurs extérieurs comme la fatigue, le stress,  le poids ou l’alimentation.

     L’acide hyaluronique et botox

    Un ensemble de procédés non invasifs, qui améliorent ou corrige l’apparence en agissant sur des disgrâces physiques non pathologiques à l’aide de techniques moins invasives qui se basent sur l’injonction de produits totalement résorbables dont l’effet est très naturel.


    L’acide hyaluronique, est une molécule naturelle qui préserve la fermeté et l’élasticité de peau avec des propriétés spécifiques ayant une influence sur la durée des résultats et l’effet volumateur.

    Le Botox, est une substance issue de la bactérie «Clostridium botulinum», qui traite les rides d’expression provoquant temporairement leur relâchement progressif.

    Par quelle zone faut-il commencer le traitement ?

    Le front

    Dès l’âge de 30 ans chez un homme ou une femme très expressive, l’injection du Botox permet de relaxer les muscles responsables de telles rides d’expression.

    A l’âge de 40 ans, les rides horizontales et la région du sourcil sont traités par l’injonction de l’acide hyaluronique pour combler la cassure de peau.

    Le contour des yeux

    Après les 30 ans, une femme sur deux serait préoccupée par le contour de son œil qui sera  comblé par l’injonction de l’acide hyaluronique en profondeur lorsqu’ils sont creux.

    Autour des 40 ans, l’injection de la toxine botulique permet de diminuer les rides du sourire et repositionner le sourcil qui tombe un peu.

    Le milieu du visage

    Pour éliminer les sillons nasogéniens marqués, l’acide hyaluronique sur la vallée des larmes, les joues et les pommettes permettent de les atténuer sur un visage émacié et restaurer leurs volumes.